J’apprenais à un ami (précisé dans le rêve) que, grâce à mon frère, j’avais obtenu les visas, l’autorisation et le financement pour tourner en Amérique du Sud le film qu’il désirait – moyennant le fait que je joue dedans. Enthousiaste, cet ami me montrait des dizaines de carnets reliés et remplis de dessins exécutés à la main : son story-board, plan par plan, extrêmement détaillé. Par ex., cette scène où un type sort la tête de derrière un bureau et se la fait illico exploser par un sniper. Juste à côté surgit alors celle d’un bébé hilare. Il y avait même un système d’étoiles pour estimer les tarifs de la douane concernant les objets et accessoires du décorateur.