Je volais au-dessus des toits de Paris, de belles coupoles ocre, or et laiton, en cherchant la Tour Eiffel pour me repérer. Lorsqu’on vole, pensais-je, le plus délicat est de savoir régler sa vitesse et de se repérer. Puis je me retrouvais à garder le chat d’une autrice. J’étais interviewé par une sorte de machine en tôle magnétique pilotée par une jeune femme. Tandis que j’avais les yeux fermés par les longs poils du micro, le chat de l’autrice se transformait en pièce mécanique et remplaçait mon mollet droit.