Au bout d’une jetée d’émail, lisse et blanche comme un lavabo géant. J’avais des difficultés à marcher sur les filets de pêche sans y accrocher le dessin de mes semelles. Une fois le pêcheur parti, je m’asseyais enfin sur un rebord. Apparaissait une femme nue qui écartait les jambes pour venir sur les miennes. Elle était elle aussi d’un blanc de céramique, mais sa chair était souple sous mes doigts.