Plus de rayon casseroles, des élus en mode panique.
Les naufragés de la discorde (Jock Serong) Belle description d’un personnage féminin qui se promène seule dans le bush et évoque la manière dont eux (les indigènes) vivent sans contraintes, ne serait-ce que pour pisser. Ils brûlent des planches cassées, pour la seule raison que les flammes d’un feu prêtent un sens au monde. (p. 82).
La nuit a dévoré le monde ( Pit Agarmen / Martin Page) Lorsqu’il descend des zombies d’un tir dans la tête, le narrateur-écrivain songe que parmi eux il y a sans doute ses lecteurs. Comme fin à la place de la sienne, alors qu’il sort dans la rue déserte, je l’aurais tué d’une balle dans la tête – la méprise d’un survivant. Je n’ai pas des stocks illimités de papier toilette et cela s’annonce comme un de mes pires problèmes. (p. 94). Les zombies se sont emparés du monde sans stratégie autre que la satisfaction de leurs instincts. (p. 214).
Le concept de quotidien.
Futur : Le jour où les Kevin seront en voix de disparition.
Nouvelle : un homme se réveille un matin avec de la rouille sur la bite.
Vu deux films bons et inattendus : Cargo, relecture sf minimaliste du mythe indien de la résurrection, par une femme, Arati Kadav ; Shine your eyes