Sans nos paroles, le monde est un lent chaos silencieux ; sans les hommes, il sera accueillant.
Les yeux fermés (Gianrico Carofiglio) Il y a des soirs où on sait à l’avance que se prépare une nuit sans sommeil. Pas de signes particuliers, éclatants, évidents. On le sait, tout simplement. (p. 99). C’est marrant. Tu racontes que t’es une bonne sœur et ça ne vient à l’idée de personne de vérifier si c’est vrai. Personne ne te demande quoi que ce soit… (p. 222).
Un éditeur qui se prétend tel ne se doit-il pas de saisir toute opportunité de promouvoir un livre qu’il a choisi de publier ?
Le milieu de l’édition d’imaginaire est le même que n’importe que autre milieu, la tête est juste un peu enflée.
Nous vivons – hélas – de l’avidité de certains.