L’oiseau moqueur (p. 149) L’un de mes amis qui travaille à mi-temps comme responsable d’une maison d’édition affirme qu’un livre moyen trouve environ quatre-vingts lecteurs. Je lui ai demandé pourquoi, en ce cas, ils ne cessaient pas leurs activités. Il m’a répondu que, franchement, il ne le savait pas, mais que sa société d’édition était un département si minuscule de la Compagnie de Loisirs qu’on en avait probablement tout simplement oublié l’existence. Lui-même ne sait pas lire, mais il a beaucoup de respect pour les livres […].