Nous formons une équipe disparate destinée à un vol en fusée. Nous sommes amenés dans une clinique et vêtus de blouses blanches. Au fond de la salle, sur un lit, un homme tatoué de la tête aux pieds, petit doigt en l’air, se maintient délicatement en état d’érection. Nous prenons ensuite une douche dans une pièce carrelée. Puis nous montons dans un autocar pour rejoindre la fusée. Pas de chauffeur : l’un de nous conduit. On nous donne comme indication de continuer tout droit après le pont. Nous tournons à droite. Nous voilà perdus, maintenant à pied, toujours vêtus de nos blouses blanches dans une ville qui ressemble à Alger.