J’étais assis parmi pas mal de monde. Bancs, tables à tréteaux : c’était la cantine d’un théâtre. Après en avoir parlé avec un autre, ma voisine de gauche me tend un livre pas plus épais qu’un Gallimard jeunesse, intitulé « Epi©tète ». Après concertation ils me chargeaient de la mise en scène. En m’indiquant qu’il me fallait « intégrer de l’aléatoire ». Les quatre comédiens pressentis se lèvent des bancs : c’étaient quatre nains – dont un avec des dreads.