Dans un hangar aménagé avec des stands, j’accompagnais une amie qui délogeait le sosie d’une chanteuse célèbre en affirmant qu’elle était cette chanteuse. Face aux sceptiques, elle se tapotait le visage en signifiant que la prétendue ressemblance de l’autre était tout de même approximative. Alors qu’elle commençait son play-back, des individus se déplaçaient plus loin, juchés sur de très hauts tiroirs en acier. J’allais dans une cave où se tenait un grand chien en paille et je me retrouvais sailli par la bête. Je retournais l’affaire à mon avantage, bientôt c’est moi qui montais l’animal, devenu une femelle de chair et d’os dont je caressais la ribambelle de vieilles tétines.