Encore un hangar ouvert aux quatre vents, dans une sablière. Il pleut. La kermesse est terminée, ne restent que quelques meubles en inox et deux artisans avec leurs poulets frits et leur pain mou. J’aide à remballer. Je suis pieds nus. Je repousse des rôtis de veau au fond d’un sac pour me faire des sandales avec la barde et les ficelles.