2020 / chapitre 28

Vu le premier épisode de Tales from the loop. Parabole des cieux qui nettoient, comme Marion la Souillon. (La maison s’envole.) Rien de neuf. Quand donc les séries de SF nous donneront véritablement à voir l’autre, l’inconnu, l’impensé ? Reste que l’appétit de voir des séries s’est gravement atténué.

Deux sortes de lecture : celle où j’arrive par moi-même ; celle qui m’est conseillée alors qu’elle est hors de vue.

Il y a des choses hors de la portée de nos sens et de notre conscience. Si ces choses ont un impact sur nous, verrons-nous cet impact ? Saurons-nous le discerner ? Ou bien sommes-nous changés à notre insu, en dehors du champ de notre conscience ? Ce changement indicible en est-il un ?

Soirée concert secret au Maquis de Vareilles. Français & italien & brésilien & portugais & polonais & anglais & américain & metallicaien & yaourtien & troudemémoirien.

Le son du cor (O. Sarban). elle n’avait pas seulement risqué la mort mais aussi toutes les tortures et traitements indignes qu’un absolutisme vicieux pouvait imaginer d’infliger. (p. 144). les grosses lèvres rouges de von Hackelnberg distendues par un gros rire bestial comme s’il mettait un terme à nos brèves vacances d’êtres humains. (p. 161). Pour vaincre […] il fallait faire quelque chose qui avait toute l’évidence de l’absurdité. (p. 163).

2020 / chapitre 28

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.