Fascicule paru chez Le Carnoplaste en 2008. Disponible ICI
Ah ! Cette aventure-là, j’en suis content : l’intrigue est labyrinthique à souhait et au final, Harry Dickson n’attrape pas le méchant (qu’on se rassure, il le fera, c’est prévu, dans le fascicule No. 201, L’ombre de la peine perdue).