J’étais devenu Premier ministre (non pas efficacité politique, mais par défection des autres candidats). Monsieur Poutine me laissait mort dans une clairière. Je me relevais néanmoins et allais bravement le voir. Je lui disais ne pas être celui qu’il pensait. Son conseiller éclatait d’un rire cruel. Il se trompe, soutenait-il. C’est une victime ! Je lui expliquais que je scénarisais encore un peu, que je pouvais donc lui affirmer n’être pas d’un seul bloc comme un personnage de Tintin, ce qui fit hésiter Poutine.