J’étais invité chez lui par un Gitan qui vivait dans une grotte encombrée de bibelots. Il avait un ordinateur en acier avec un épais verre de protection et de drôles de caractères blancs disposés en une grille régulière sur l’écran noir. Il me montra un portrait de sa petite fille dessiné en prison : c’était la carte très détaillée d’un pays que je ne connaissais pas.