Nuit. Nous marchons avec des amis. Arrivés devant un parc, ils choisissent de le contourner. Je saute le mur, le traverse et bute sur une grille. Je la secoue. Bruit qui alerte. De l’autre côté de la rue galope un gars à cheval. Il passe le muret et me charge. Je me cache derrière un tronc. Le gars est maintenant à pied et me tombe dessus. C’est un handicapé mental, mais je dois me défendre. Je lui brise le crâne avec mon marteau casse-noix. Il est ensanglanté. Je le prends dans mes bras et le porte de l’autre côté de la rue. C’est un institut avec des handicapés en fauteuil. L’un d’entre eux m’explique qu’ils sont seuls, sans personnel. Je ne peux pas abandonner ma victime. Je fais appeler la police. Deux inspecteurs arrivent en voiture. Il y a un disque des Doors derrière le pare-brise. J’ai toujours le gars au crâne fendu dans les bras. « C’est moi qui ai fait ça », dis-je. Ils décident de l’opérer eux-mêmes et je l’allonge sur une table en formica.