Manhole 69 (J. G. Ballard) Three hundred million years ago we became air-breathers and left the see behind. […] in point of fact you haven’t left the primeval sea behind. You’re still carrying a private replica of it around as your bloodstream. All you did was to encapsulate a necessary piece of the physical environment in order to escape it. (p. 58). Continual consciousness is more than the brain can stand. Any signal repeated often enough eventualy loses its meaning. […] After a point, the brain’s self awareness dulls. It’s no longer able to grasp who or why it is, and it rides adrift. (p. 65).
Médecin. Salle d’attente. Une vieille femme, cheveux gris, visage et mollets ridés, deux cannes, s’assoit et sort de son sac le dernier Inrockuptibles.
Les fonctionnaires chinois du service de l’immigration se montrèrent aimables, me demandant si […] je n’importais pas de « documents de nature salace ». Que voulaient-ils dire ? Le dernier Julie Burchill, ou – pourquoi pas – une biographie de Donald Trump ? (J. G. Ballard, Déverrouiller le passé, in The Daily Telegraph, septembre 1991.)
Le rôle actuel de pas mal d’auteurs SF est de pondre un ouvrage d’imagination à destination des universitaires, qui n’en ont aucune.
Nos existences sont inlassablement cryptées.
The voices of time (J. G. Ballard) as Kaldren tirelessly trapped the sky, sluicing in millions of cubic parsecs of sterile ether (p. 173).
Contrairement aux autres animaux, l’humain a les ressources pour atténuer la douleur, la sienne et celle d’autrui ; depuis le début, avec une opiniâtreté qui confine au génie, il en invente de nouvelles chaque jour.
Pour apprécier les subtilités d’un genre, il faut en être fan hardcore