Les velléités productives de certains éditeurs d’imaginaire reviennent à exhiber un vieux crouton trouvé derrière une malle et à le ramollir en le plongeant dans l’eau puisée à la source d’une souscription Ulule.
Quatre marcassins rayés de la taille d’un sac à main grognant comme des grosses bêtes juste sous mon nez sont entrés chez le voisin par la porte ouverte
Castex ferme les bars et durcit le thon.
Le rayon vert (Jules Verne) Alors le timonier donne un coup de barre, la ligne de foi du compas est mise au rhumb de l’ouest, on double l’île d’Arran, on tourne le grand doigt de la presqu’île de Cantyre, on en remonte la côte occidentale, on s’enfonce dans le Gigha-passage, à travers le détroit du Sund, creusé entre les îles d’Islay et de Jura, et on arrive à ce secteur largement ouvert du Firth of Lorn, dont l’angle rétréci va se fermer un peu au-dessus d’Oban. (p. 46). Il n’écoutait pas, il ne voyait rien, il ne se taisait jamais. (p. 64).
The Reptile Enclosure (J. G. Ballard – The complete short-stories) For ten years the thousand cautions and compromises accepted each day to make existence tolerable had steadily secreted their numbing anodynes, and what remained of his original personnality, with all the possibilities, was enbalmed like a specimen in a jar. (p. 431).
Les actualikés.
La jubilation de lecture qui te fait préférer Colas Breugnon à Dune, Kipling à Damasio et Narayan à Peng Shepherd. Et le plaisir de découvrir des auteurs comme Nina Allan (pour cette dernière, l’écho familier de son histoire où deux réalités s’interpénètrent de manière incertaine te séduit, jusqu’au moment où la dernière ligne des remerciements est adressée à mon compagnon, Christopher Priest