lundi 4 novembre
Sommes retournés marcher à La Frette-sur-Seine, où nous avons vécu dans les années 80. Le pavillon des bords de Seine est toujours là. En lisant Delirium, j’ai appris que Druillet a vécu à 50 m de là (mais 10 ans plus tard).
Le village est préservé, mais, plus haut, c’est du béton tout contre la voie rapide, des zones commerciales, etc.
Qui publie sur facebook un post pour exprimer son mécontentement vis-à-vis du parasitage des Utopiales par l’armée ? L’éditeur de Gagner la guerre . 🙂
mardi 5 novembre
Livre des Goguettes du Maquis mis en page.
mercredi 6 novembre
Livre des goguettes chez l’imprimeur.
Le club de la lutte = Fight club.
Drôle de rencontre : nous avons mangé le bouillon d’une poule-au-pot, poule qui vient de chez le voisin, au bout de la rue, à 30 m. Avons ajouté des vermicelles chinois. Qui viennent de Chine. À 9 000 km.
Demain, Ardèche.
jeudi 7 novembre
Ardèche / Lisa. Le coin est chouette. Pensons à y déménager.
vendredi 8 novembre
Lapin et polenta chez François Corteggiani, avec Christophe Alvès, Baptiste et son épouse Cécile.
samedi 9 et dimanche 10 novembre
Salon du polar de Villeneuve-lez-Avignon. Un des meilleurs salons jamais faits. Merci Corinne Tonelli ! Logé dans une cellule de la Chartreuse, nourri dans le cloître, défrayé ET honnêtement rétribué pour proposer ses livres à un public de lecteurs qui, ne connaissant pas, achètent et, lorsque je signale que Femmes d’argile et d’osier et L’homme qui traversa la Terre ne sont pas des polars, répondent : ça change ! et partent avec. Vendu 14 du premier, huit du second et une vingtaine de fascicules Harry Dickson (plus un Béla Bartók et deux Nicollet). Acheté un Vásquez Montalbán (jamais lu de Pepe Carvalho) et Parmi d’étranges victimes